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Qui n’a jamais reçu ce type de communication lacunaire, équivoque et très « diplomate » ?
79% : c’est la proportion de participants à notre dernier webinar qui pense que « Le sujet de la « sortie » des collaborateurs est généralement tabou dans nos entreprises ».
Effectivement, un départ, quand il est provoqué par l’employeur, fait rarement l’objet d’une communication explicite, à l’inverse des accueils parfois flamboyants.
En 2021, nous vivons encore majoritairement dans la perspective d’une union « À vie » avec le travail.
Si les jeunes générations bousculent certes les lignes, s’ils tendent à devenir « agiles » ou « zappeurs », consommateurs d’expériences en entreprise, c’est, pour la plupart des salariés, le lien « durable” qui prévaut*.
Alors qu’un univers et des modèles de plus en plus Agiles s’imposent à nous – nous, Organisation et
Humains – la rupture est le plus souvent perçue comme un échec. À ce titre, elle est donc anormale, elle ne devrait pas être, elle n’a pas sa place.
C’est ainsi que pour éviter de la voir on la cache. Tout se joue dans la discrétion et dans les mots très convenus.
Chez PerfHomme, nous pensons cette situation autrement.
La rupture, lorsque bien gérée, est source de rebonds généralement très profitables.
Les travaux d’Elisabeth Kubler Ross mettent très bien en évidence qu’après un temps d’ajustement, chacun d‘entre nous a la capacité d’apprécier le meilleur de sa nouvelle situation.
Accompagner ce temps de transition, c’est pour nous :
Les résultats sont simples :
Quand il semble normal d’investir sur un recrutement, pour trouver la « perle rare » ; s’il est normal d’investir sur les compétences pour développer le savoir-faire de l’entreprise et préserver l’employabilité de ses équipes ; alors il devient aussi normal d’accompagner la transition de collaborateurs, qui ont su s’engager en d’autres temps.
Une question ? Parlons-en !
Article rédigé par Eric Dhénin, PerfHomme Centre Val de Loir – Tours
*Selon le Ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion le taux de rotation en entreprise, tous secteurs d’activité confondus est passé de 10,4% au 1 er trimestre 1998 à 25,7% au 4e trimestre 2017